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En juin dernier, le photo-journaliste Franck Charton du magazine Grands Reportages a choisi Makila pour réaliser son voyage  safari en Afrique. Nous lui avons donc concocté un voyage de rêve du Kalahari Plains Camp à la réserve du Parc National de Hwange, en passant par le Delta de l’Okavango et Victoria Falls. Il est revenu de son voyage avec, dans sa valise, un dossier de plus de 30 pages consacré aux nouvelles formes de safaris. En effet, les safaris à pied, à dos d’éléphants ou en pirogues proposés dans nos voyages ont complètement changé sa manière de voir la faune et la flore africaines. Alors, pourquoi se limiter à un safari en 4×4 ? Chez Makila, on partage son sentiment. Nous vous livrons donc quelques extraits de ce dossier passionnant.

Safari à pied à Camp Hwange

Franck Charton partage avec Makila la passion des voyages et des grands espaces. Il y a quelques mois, nous l’avons envoyé découvrir nos escapades préférées d’Afrique : Camp Hwange, le Delta de l’Okavango (dont on vous parlait déjà cet été ici) et les camps de Wilderness Safaris. Le dossier qu’il a publié dans l’excellent magazine Grands reportages est passionnant. Grâce à sa plume, il nous fait revivre la magie du safari. Nous vous livrons ici un extrait de son safari à pied au parc national de Hwange et sa rencontre en tête-à-tête avec un éléphant :

Couverture Grands Reportages

« Ce matin, avec Julian, guide professionnel spécialisé du Camp Hwange, au coeur des Shumba plains, et de Felix le traqueur, « oeil de lynx » et pisteur hors pair, nous avançons depuis une petite heure, tels des Sioux, dans une zone de Kopje, buttes granitiques émergeant du bush.

Nous n’avons aperçu jusqu’ici que quelques inoffensifs damans des rochers, ressemblant à de petites marmottes, et un couple de klipspringers, mini antilopes extrêmement farouches ». 

klipspringer au milieu des rochers © A. et M. Allemand

klipspringer au milieu des rochers © A. et M. Allemand

« Soudain Felix lève le bras et se courbe derrière une touffe de graminées : « Eli ! » souffle-t-il le sobriquet pour éléphant. Un jeune mâle d’une dizaine d’années environ remonte en effet une petite combe, à trente mètres de nous ».« L’éléphant, s’il a une mauvaise vue, jouit en revanche d’une bonne ouïe et d’un excellent odorant. Si nous étions « au vent » au contraire, il nous aurait repérés depuis longtemps, alors que nous pouvons continuer à nous rapprocher, prudemment, sans faire de geste brusque ».

Eléphant, Camp Hwange

« La tension est palpable, mon coeur cogne dans ma poitrine, mes oreilles bourdonnent, j’ai l’impression qu’à chaque pas, l’herbe jaunie nous trahit en craquant. (…) S’ensuit alors une démonstration qui vaut son cas d’école. A environ 10 mètres du bull – ou taureau, termé pour désigner les mâles-, celui-ci aperçoit soudain l’homme et se fige. Sa trompe, tel un périscope olfactif, se dresse en point d’interrogation pour mieux capter les effluves : l’humain s’avance vers lui ! (…) Le pachyderme pousse un barrissement, un bref et violent coup de trompe qui sonne comme un avertissement ; il fouette le sol de son pied-pilon et ses oreilles claquent comme choqueraient des voiles de cuir. »

Pour lire la suite de son safari à pied, ainsi que pour découvrir nos voyages, vous pouvez vous procurer le numéro de Grands reportages à cette adresse.

On vous laisse avec cette photo d’un safari en pirogue et d’un safari à dos d’éléphants dans le Delta de l’Okavango !

Safari en pirogue et à dos d’éléphant Okavango, Botswana

 

 

Un commentaire

  1. merci pour cet article. ça donne envie de lire le reportage complet.

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